Lorsqu’un arbre meurt, ce n’est pas la fin. Au contraire, voilà que commence une seconde vie presque aussi féconde que la première. Une réalité dont il faut tenir compte pour maintenir la bodiversité de la forêt mâture. Article de Isabelle Burgun de l'Agence Science-Presse rapportant les travaux de Virginie-Arielle Angers du laboratoire de Pierre Drapeau.
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