Deux mille hectares de sites miniers au Québec sont à l'abandon, et la moitié d'entre eux (l'équivalent de 2000 terrains de football) nécessitent une restauration, car ils sont gravement pollués. Fait notable, les régions les plus riches en minerais dans le monde sont aussi celles qui en profitent le moins. Ce phénomène est communément appelé « malédiction des ressources naturelles », explique Hugo Asselin, chercheur à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue.
Congrès de l’ACFAS: nos coups de cœur
Mathias Marchal, Journal Métro