Les plantations mixtes permettent d’optimiser les systèmes sylvicoles
C’est par le biais d’une vidéoconférence à partir du campus Saint-Charles de Aix-Marseille Université à Marseille et diffusée au campus de Rouyn-Noranda de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), que Mme Mathilde Chomel a soutenu sa thèse le lundi 24 novembre dernier. Lors de sa soutenance, Mme Chomel, doctorante en sciences de l’environnement de l’UQAT, a démontré que les plantations mixtes optimisaient la productivité et le stockage de carbone après 10 ans, ce qui représente un double avantage généralement recherché dans les systèmes sylvicoles. Ayant pour titre « Sylviculture intensive en région boréale : impact de la mixité des essences sur le processus de décomposition des litières et le stockage de carbone », la thèse de Mme Chomel fut réalisée sous la direction de Mme Annie DesRochers, Ph.D., professeure-chercheure et codirectrice de l’Institut de recherche sur les forêts (IRF) à l’UQAT, sous la codirection de Mme Marie Guittonny-Larchevêque, Ph.D., professeure-chercheure à l’Institut de recherche en mines et en environnement (IRME) de l’UQAT et de Mme Virginie Baldy, Ph.D., maître de conférences à Aix-Marseille Université rattachée à l’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’écologie (IMBE).
Les membres du jury ont décerné à la thèse de Mathilde la mention très honorable pour la France et la mention excellent pour le Québec. Communiqué de l'UQAT
Bravo Mathilde!