Le numéro d'été du Couvert Boréal est maintenant disponible

Plusieurs articles ont été écrit par les étudiants de l'IRF.

Félicitations à Marc-Frédérik Indorf qui obtient le grade de docteur!

L'UQAT étudie l’assemblage des communautés végétales des tourbières en Eeyou Istchee Baie-James dans un contexte de changements climatiques.

Partant de la prémisse que le monde actuel vit des changements rapides se répercutant à l’échelle de toutes les espèces vivantes (bactéries, animaux, plantes, etc.), Marc-Frédéric Indorf, doctorant en sciences de l’environnement, a soutenu sa thèse portant sur l’exploration des trajectoires potentielles des tourbières du territoire Eeyou Istchee Baie-James d’ici 2100 tout en approfondissant les connaissances floristiques et éco-hydriques de ces milieux. L’objectif est de connaître les scénarios futurs possibles afin de développer des stratégies efficaces en conservation et en développement durable.

Observer les oiseaux pour la science : rediffusion

La conférence du 22 juin dernier au Coeur des sciences, intitulée "Observer les oiseaux pour la science" est maintenant disponible sur la chaîne YouTube. On y entent les propos de Lorna Heaton, Jean-Sébastien Guénette et Pierre Drapeau.

L’aménagement forestier écosystémique, efficace à long terme?

Puisque l’aménagement forestier écosystémique est une façon d’aménager la forêt plutôt récente, des suivis quant à la réponse des travaux sylvicoles effectués sont nécessaires. Ainsi, Marion Noualhaguet, doctorante en sciences de l’environnement à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), s’est penchée sur le sujet dans le cadre de son projet de recherche intitulé « Impacts de l’aménagement forestier écosystémique en forêt boréale mixte : structure, composition, régénération et biodiversité ».

Incendies de forêt - Le Forestier en chef critiqué pour sa gestion du feu

Les incendies de forêt doivent être pris en compte dans la planification de la récolte forestière, plaident des spécialistes de la forêt dans une critique sévère de l’approche actuelle, qui consiste en un réajustement après coup. « Le Forestier en chef ne peut prétendre avoir déterminé des niveaux de coupe durables », écrivent dans une lettre ouverte publiée ce jeudi dans La Presse Yves Bergeron, professeur à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) et à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) spécialisé en écologie et aménagement forestier, Alain Leduc, professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM, et Jean-Pierre Jetté, ingénieur forestier.